En visite chez Lapierre

Nous avons profité d’une présentation presse pour visiter le quartier général de Lapierre. Situé dans une zone industrielle, d’extérieur les bâtiments sont plutôt banales. Une fois entré dans les locaux, c’est une autre affaire. Le mélange d’ancien et de modernité est plutôt réussi, même si ce n’est pas une question d’esthétique mais plutôt de rationalité.
Publié le 11/06/2016 11:52 -
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Des bâtiments banals... Mais le meilleur se cache à l'intérieur !

 

Dans l’usine, les innombrables cartons, plus ou moins rangés, indiquent un approvisionnement international. Si le développement se fait en France, les cadres et les composants proviennent du monde entier. Cette donne est valable pour la majorité des marques de vélos. Lapierre écoule 100'000 vélos par an. Un chifre considérable qui nécessite une certaine infrastructure. Chez Lapierre, les composants et les cadres sont assemblés dans trois usines situées en Europe.Deux de celles-cise trouvent en France.

D'une taille humaine, l'’usine dijonnaise n’est pas la plus rentable au niveau économique. Cependant les cerveaux et la main d’œuvre qualifiée permettent de développer des produits de qualité. Cela a également permit à la marque d’obtenir l'excellente certification ISO 9001.

L’usine de Dijon intègre un show-room destiné aux professionnels, les bureaux administratifs, un centre R&D, le SAV et des postes de montages. Ces derniers fonctionnent en chaîne. Pour casser la routine, le personnel est à 80% polyvalent. L’entreprise fonctionne quatre jours sur sept, de 7 à 17h. Le montage des roues est mécanisé, ce sont des machines qui assurent par des machines. Outre le big boss, Gilles Lapierre, un certain Arsène travaille dans ces ateliers depuis quarante-deux ans. Cet ancien soudeur vit dans les lieux et c’est la personne qui trouve une solution à toutes les situations imaginables… ou pas ! Histoire de découvrir ces lieux, et ainsi de connaître l'envers du décors, voici une sélection de photos légendées. Certaines sont floutées car elles concernent des nouveautés que nous présenterons en juillet.

 

L’histoire de Lapierre : https://fr.wikipedia.org/wiki/Lapierre_%28entreprise%29

 

Si les vélos sont montés à la chaîne, les ouvriers sont polyvalents. 80% d'entre-eux peuvent changer de poste suivant les besoins. Cette période de l'année est transitoire pour Lapierre, les modèles 2016 disparaissent au profit des premiers modèles 2017.

 

Comme pour toutes les marques les cadres et les composants proviennent de différents pays. Pour une bonne organisation, la logistique doit se montrer rigoureuse.

 

La salle de torture... Tous les modèles passent par ici afin de recevoir les validations des normes internationales. Ca nous fait mal au coeur de voir tant de cadres ou autres composants voués à passer à l'échafaud !

 

Cette machine monte des roues, elle n'est pas tous les jours en fonction. Pour des raisons de coûts et de rentabilité, la machine a été préférée à l'humain.

 

Des jantes larges traînaient discrètement dans un recoin... Du 27.5+ ?!? Affaire à suivre !

 

Le bureau top secret, la porte reste continuellement fermée. Dans le cas contraire, Gilles Lapierre monte les tours. Nous envions le multiple champion du monde, Nicolas Vouilloz, qui connait parfaitement ces lieux.

 

On s'active au niveau du SAV. Lapierre a pris le parti d'assurer un SAV rapide et de qualité.

 

Un studio photo se trouve dans l'enceinte. C'est ici que sont réalisés une grande partie des images destinées aux catalogues.

 

Rendez-vous en juillet pour découvrir toutes les nouveautés !

 

 

 



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